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Retrait des États-Unis de l’UNESCO en 2025 : Donald Trump avait déjà ordonné ce retrait en 2017

Retrait des États-Unis de l’UNESCO en 2025 : Donald Trump avait ordonné ce retrait en 2017

Le président américain Donald Trump a officiellement annoncé en juillet 2025 le retrait des États-Unis de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).

Cette décision intervient quelques années après le retour du pays dans l’organisation sous l’administration Joe Biden. Ce nouveau retrait marque un tournant dans la politique étrangère américaine, soulignant une volonté claire de se distancier des institutions internationales.

Historiquement, les États-Unis ont déjà quitté l’UNESCO à deux reprises : en 1984 sous Ronald Reagan puis en 2017 lors du premier mandat de Donald Trump.

Après un retour sous Biden, cette dernière décision revient confirmer les désaccords persistants de Washington concernant la gestion de l’UNESCO, son biais perçu en faveur de certaines causes politiques, notamment un « anti-israélisme » jugé injustifié par les Américains, ainsi que l’influence grandissante de la Chine au sein de l’organisation.

L’administration Trump a également pointé du doigt les orientations dites « woke » et idéologiques adoptées par l’UNESCO, qui selon elle, ne reflètent pas les valeurs défendues par les électeurs américains.

Par décret en février 2025, Donald Trump avait ordonné une réévaluation complète de l’implication financière des États-Unis dans l’UNESCO et dans les agences des Nations unies.

Le retrait officiel prendra effet à la fin de l’année 2026, laissant du temps aux membres pour s’adapter à la perte de la contribution américaine, qui représentait environ 8% du budget de l’UNESCO.

Ce départ pourrait avoir des répercussions sur les programmes mondiaux d’éducation, de culture et de protection du patrimoine, domaines dans lesquels les États-Unis jouaient un rôle important.

Ce nouveau retrait illustre les divisions internes des États-Unis sur le multilatéralisme et renforce la politique « America First » de Donald Trump, mettant en lumière les défis d’une coopération internationale stable.

Tekiano avec IA

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