
“Nous craignons que ce syndicat ne soit en réalité qu’un groupement d’intérêts étriqués dont le but est d’influencer les choix du peuple, surtout lors des rendez-vous électoraux à venir”, affirme l’INRIC dans un communiqué.
Le STDM avait publié jeudi un communiqué appelant à la révision de la composition de l’INRIC et mettant en doute l’action et l’intégrité de l’Instance.
Cette position, précise l’INRIC, s’inscrit dans le cadre d’une “campagne virulente” visant à porter atteinte à l’Instance, à l’empêcher de mener sa mission et de mettre en place des règlements réorganisant le travail du secteur de l’information “de manière à prévenir la constitution de monopoles et la réalisation d’intérêts corporatistes étriqués”.
L’INRIC, présidée par le journaliste Kamel Laabidi, réitère sa détermination à poursuivre son action pour “la protection du droit du peuple tunisien à une information libre, pluraliste et transparente”.
Créée en vertu du décret-loi n°10-2011 en date du 2 mars 2011, l’INRIC joue notamment un rôle consultatif pour l’enrichissement du champ audio-visuel par de nouvelles radios et chaînes de télévision. Elle œuvre, actuellement, à faire promulguer une loi interdisant la publicité politique dans les médias.
Source : TAP
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