Orange a récompensé hier les trois gagnants du Prix de l’Entrepreneur Social en Afrique, à l’occasion de la cérémonie des AfricaCom Awards au Cap
§ Les trois lauréats vont bénéficier d’un soutien financier et d’un accompagnement par des experts d’Orange
En juin dernier, Orange a lancé le Prix de l’Entrepreneur Social en Afrique, destiné à soutenir des entrepreneurs et start-ups qui utilisent les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour répondre aux besoins des populations en Afrique.
L’appel à projets, ouvert de juin à septembre 2011, a recueilli plus de 600 candidatures. Les projets proposés couvraient des domaines variés comme la santé, l’agriculture, l’éducation, les services financiers ou encore le commerce.
Le jury, composé d’experts venant d’Orange, des médias et d’institutions promouvant le développement ont désigné les trois lauréats du Prix parmi 10 projets nominés, présentés sur le portail d’Orange en Afrique, www.StarAfrica.com*.
La remise des prix a eu lieu hier au Cap (Afrique du Sud), lors des AfricaCom Awards, cérémonie annuelle qui récompense les innovations et les performances les plus marquantes de l’industrie des télécommunications sur le continent africain.
Les projets récompensés sont les suivants :
§ Le premier prix revient au projet nigérien Télé-Irrigation Horticole, qui met la technologie mobile au service des horticulteurs, agriculteurs et coopératives pour irriguer à distance leurs exploitations. Les cultivateurs peuvent ainsi améliorer leur productivité et préserver les ressources en eau.
§ AgaSha Business Network, qui remporte le 2ème prix, est une start-up ougandaise qui utilise Internet afin d’aider les petites et moyennes entreprises africaines à se développer. Grâce à sa communauté business en ligne, elle favorise l’interaction entre les différents acteurs économiques afin d’accroître les opportunités de marchés des PME en Afrique et à l’étranger.
§ Le 3ème gagnant du Prix est Kachile, une start-up lancée en Côte d’Ivoire. A l’aide de sa plateforme de commerce en ligne, elle propose de « professionnaliser » l’artisanat, secteur très développé en Afrique mais qui souffre d’un manque de visibilité et d’accès aux marchés.
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